NON AU SEXISME AU FEMININ, AUSSI !
Création - 2022-05-03
participer à la dénonciation de la « double-morale » active qui conditionne l'opinion publique selon le sexe des victimes et celui des coupables, au lieu de condamner tous les auteurs(es) de violences et défendre toutes les catégories* touchées (*enfants, femmes, hommes inclus) ; lutter contre les discriminations « sexistes » dont sont victimes les enfants* (statistiques néonaticides/infanticides occultées) et les hommes* (*homicides/suicides), dans un contexte hostile, aliéné par la supposition surfaite médiatiquement, préjugeant que dans la société civile actuelle, toutes les femmes, tous les enfants, tous les animaux, tous les LGBT et la Nature, seraient les victimes possibles de chaque assassin ou maltraiteur sommeillant en toute personne née de sexe masculin ; réduire les inégalités « femmes-hommes » dans le traitement des informations, dans les médias, les discriminations et les privations des droits*(*fondamentaux en matière de justice pénale, civile, familiale, parentale, d'accès aux Enfants, au logement, à l'accompagnement social du Département et à l'emploi) dont est victime le genre MASCULIN en France ; développer la prise de conscience collective vis à vis des effets inacceptables que les "préjugés sexistes" distillés par la Pensée unique provoquent à l' encontre des hommes et leurs conséquences "collatérales" socialement, familialement, éducativement, humainement, au sein de notre société Civile soit disant "civilisée" ; poser des débats au sujet de l'iniquité "Femmes-Hommes", devenue un fonds de commerce pour les associations 'CIDFF qui se nourrit du conflit parental) luttant supposément contre les violences intrafamiliales ; une économie locale (ASE et département) basée sur des prix de journée dès qu'une ordonnance de placement provisoire est prononcée par un juge des Enfants ou les décisions ubuesques des Juges aux Affaires Familiales ; des avocates véreuses encourageant leurs clientes à faire le choix éhonté de la stratégie du mensonge quitte à diffamer ou dénoncer calomnieusement "l'autre", puisque cela assure dans la durée (8 ans en moyenne), des procédures judiciaires longues qui représentent 70% du Chiffre d'Affaires de leur cabinet, qui ruinent simultanément la santé physique, psychique, morale et financière d'hommes/d'enfants, victimes de cet extrémiste féministe ; stopper la mauvaise foi qui anime les défenseurs de ces discriminations sexistes, lorsque leur est demandé leur avis quant à leurs réactions face à une simple inversion des rôles dans les exemples qu'ils citent et utilisent comme arguments ; exiger l'application pure et simple de la loi sur la Résidence Alternée votée en mars 2002, mais jamais appliquée, ni octroyée au sein des JAF sans accord de la mère ; seuls 17% des hommes qui la demandent l'obtiennent car 83% des femmes si opposent ; cette loi inscrite par le législateur depuis bientôt 20 ans dans le Code Civil, stipule que l'intérêt supérieur de l'Enfant est le maintien des liens avec les deux parents séparés, même dans un contexte conflictuel (sauf cas de violences ou de maltraitances avérées), or, elle n'est pas appliquée par la magistrature hyper féminisée, farcie de préjugés sexistes, stipulant que lors de la séparation des parents, les enfants sont la propriété de la femme (la mère)... sauf si elle accepte que l'homme (le père) puisse lui aussi assumer leurs enfants à "égalité" et dans leur intérêt supérieur ; or à aucun moment la Loi sur la Résidence Alternée n'indique un tel mode d'attribution de la garde des enfants ; démontrer que tous ces méfaits inacceptables sont tolérés, financés et entretenus sciemment par le simple fait du sexisme anti-masculin, rapportant statut et avantages financiers, avant de devenir désormais 'la lutte contre les violences machistes, un fonds électoraliste récupéré par de nombreux partis politiques en perte sèche de militants ou votants ; rétablir une égalité de traitement face à la loi, aux injustices et aux actes malveillants que l'on soit femme ou homme